Il s’agit d’une étude exclusive menée par loveradvisor.com, qui a interrogé les répondants pendant trois semaines pour refléter une représentation précise de la population américaine.
Les attentes et les perceptions d’aller à un premier rendez-vous ont changé au fil des ans, avec de plus en plus de cavaliers substituant désormais des boissons au dîner et avec plus de femmes que jamais au volant.
Une nouvelle étude de loveradvisor.com montre qu’un homme sur quatre souhaite être pris en charge pour un premier rendez-vous plutôt que de prendre son rendez-vous ou de se rencontrer au lieu du rendez-vous.
Et il semble que ce schéma sonne vrai pour la plupart des hommes, quels que soient leur état matrimonial, leur âge, leur race et leur région.
Les hommes mariés étaient 11% plus susceptibles de préférer être ramassés que les femmes mariées, tandis que les hommes âgés de 25 à 34 ans étaient 14% plus susceptibles que leurs homologues féminins.
L’experte de loveradvisor.com, Gina Stewart, a déclaré qu’une bonne partie des hommes, quelle que soit leur démographie, aiment être bien traités lors d’un premier rendez-vous, tout comme les femmes.
« J’entends dans les communautés de retraités que les femmes qui ont encore leur permis de conduire sont le produit phare des rencontres, mais pourquoi c’est quelque chose qui couvre tous les âges et toutes les données démographiques est surprenante », a-t-elle déclaré.
« Un homme sur quatre souhaite
être ramassé pour un premier rendez-vous. »
Un homme afro-américain sur trois a déclaré vouloir que son rendez-vous vienne le chercher contre seulement une femme afro-américaine sur cinq.
L’hospitalité du Sud existe-t-elle vraiment ? Les résultats montrent que 30% des hommes vivant dans le Sud pensent que c’est la responsabilité de leur rendez-vous de venir les chercher, contre 27% des femmes du Sud.
Les répondants homosexuels et les femmes ayant des revenus plus élevés étaient parmi les groupes les moins susceptibles de dire qu’ils voulaient être pris pour un premier rendez-vous, avec seulement 12 % et 15 % l’admettant, respectivement.
L’étude a interrogé 1 080 répondants au cours de trois semaines, en équilibrant les réponses par âge, sexe, revenu, race, sexualité et autres facteurs afin de représenter avec précision la population américaine. L’étude a une marge d’erreur de +/- 2,8 %.
Par sexe :
Par sexualité :
Par état civil :
Par âge:
Par race :
Par revenu :
Par région: