Il s’agit d’une étude exclusive menée par loveradvisor.com, qui a interrogé les répondants pendant trois semaines pour refléter une représentation précise de la population américaine.
Que quelqu’un croie au coup de foudre peut avoir beaucoup à voir avec sa personnalité, sa vision de la vie ou même sa culture. Mais combien d’Américains font confiance au concept, et comment se décompose-t-il exactement selon les données démographiques?
La dernière étude interne de loveradvisor.com a révélé que les Hispano-Américains sont 33% plus susceptibles que les Afro-Américains de croire au coup de foudre.
Les résultats montrent également qu’il est plus courant pour les homosexuels américains, les Américains d’âge moyen et les personnes à faible revenu d’être plus optimistes à l’égard de l’idée.
Soixante-trois pour cent des hommes et des femmes homosexuels croient au coup de foudre, contre 57 pour cent de leurs homologues hétérosexuels.
«Les hispano-américains sont 33% de plus
susceptibles de croire au coup de foudre. »
Les Américains âgés de 35 à 44 ans étaient plus susceptibles de penser que le coup de foudre existe que ceux âgés de 18 à 24 ans, à 67% et 46%, respectivement.
Les répondants gagnant 25 000 $ à 49 999 $ par année étaient 26 % plus susceptibles de répondre par l’affirmative que les répondants gagnant 125 000 $ ou plus par année.
Les groupes les moins susceptibles d’embrasser le coup de foudre étaient les Midwesterners et les célibataires.
À 53 pour cent, les hommes et les femmes vivant dans le Midwest avaient les réponses les plus faibles parmi les régions, tandis que les célibataires avaient 22 pour cent moins de chances de croire au coup de foudre que ceux qui sont mariés.
L’étude a interrogé 1 080 répondants au cours de trois semaines, en équilibrant les réponses par âge, sexe, revenu, race, sexualité et autres facteurs afin de représenter avec précision la population américaine. L’étude a une marge d’erreur de +/- 2,8 %.
Par sexe :
Par sexualité :
Par état civil :
Par âge:
Par race :
Par revenu :
Par région: